Il s’est ouvert ce 08 octobre 2024 au Palais de la Démocratie, la 46ème Conférence de l’Union Parlementaire Africaine (UPA). C’est le 1er Vice-Président du Conseil National de Transition, ALI KOLOTOU TCHAIMI qui a précédé à l’ouverture de cette conférence en présence de la représentante du Président du Comité Exécutif, MABEL MEMORY CHINOMONA, Présidente du Sénat du Zimbabwe et de ABDERAMAN BREME HAMID, ministre d’Etat, ministre de la justice représentant le Premier ministre, invité d’honneur de la 46^ème Conférence de l’UPA.

Placée sous les auspices de Président de la République du Tchad Mahamat Idriss Deby Itno, la 46ème Conférence de l’Union Parlementaire Africaine accueille 20 pays représentée à ces assises. Au menu de cette 46ème conférence particulièrement riche et axée sur des questions liées à la paix et à la sécurité, de l’implication et de l’autonomisation de la jeunesse, ainsi que des enjeux liés au développement économique à travers la valorisation des ressources naturelles et l’industrialisation.

Pour la Présidente du Sénat du Zimbabwe, MABEL MEMORY CHINOMONA, représentant le Président du Comité Exécutif de l’Union Parlementaire Africaine, a signifiée à l’assistance que la réunion de l’UPA est un forum essentiel pour la coopération parlementaire, la promotion de la paix, de la démocratie et du développement durable en Afrique.

Des propos accueillis par les participants à la 46ème Conférence de l’Union Parlementaire Africaine et soutenu par le représentant du chef du gouvernement, le ministre d’Etat, ministre de la Justice, ABDERAMAN BREME HAMID qui apprécie les stratégies envisagées par l’UPA pour la paix et la sécurité.

Pour le 1er Vice-Président du Conseil National de Transition, ALI KOLOTOU TCHAIMI, l’Union Parlementaire Africaine collabore avec les Organisations internationales et les Institutions parlementaires nationales pour promouvoir la paix, la démocratie et le développement durable dans les pays africains.

L’Union Parlementaire Africaine reconnait la jeunesse comme un agent catalyseur pour la paix et la sécurité et invite les Etats à disposer des moyens conséquents pour la formation et l’encadrement dans les disciplines favorisant leur épanouissement et autonomisation. Il n’exclut pas les femmes qui jouent un rôle indéniable pour le développement et la bonne marche du continent africain.